Elle est venue profiter de mon selfbondage

Catégories : Rencontres BDSM Selfbondage auto bondage
il y a 7 ans

Le selfbondage et le plaisir BDSM en solo est devenu pour moi une addiction. Je ne peux pas me coucher sans faire au minimum un petit quelque chose. Ce n’est pas toujours compliqué, c’est parfois juste mettre mes menottes ou faire un micro bondage à mes jambes avant de.....

Je ne préviens pas toujours Sandrine quand j’ai décidé de jouer, d’abord parce qu’elle n’a pas à tout savoir, ensuite parce que des fois mes selfbondages sont simples et ne nécessitent pas d’être sécurisé. Enfin, presque...

A j’oubliais, cette histoire est la suite de Ma meilleure amie est une lesbienne sadique que vous trouverez ici

http://www.fessestivites.com/f/articles/10732-Ma-meilleure-amie-est-une-lesbienne-sadique

Sandrine est ma meilleure amie, elle est lesbienne, elle a les clés de mon appartement et a découvert un jour que je faisais du selfbondage.

Où en étais-je ? Ah oui, les idées me viennent en regardant les histoires érotiques, les photos et les vidéos de selfbondage sur Fessestivites. J’ai envie de tout essayer, de tout tester et aussi de tout acheter ! Depuis que j’ai commencé à jouer seule, j’ai fait de nombreux achats sur ABCplaisir où je me ruine régulièrement. J’ai aussi découvert sur Fessestivites que je suis loin d’être la seule à jouer en solo. Je me suis fait deux amies virtuelles avec qui on papote le soir en chat privé.

En attendant d’avoir un jour le courage de rencontrer un Maître, et ce n’est pas pour demain..... à cause de ma timidité, je teste donc les scénarios ou rebondis sur des idées qui me viennent à partir de photos ou vidéos. La semaine dernière, je me suis fait une grosse peur et j’ai pris conscience que je devrai prévenir Sandrine plus souvent. J’avais vu une photo de fille entravée dans une douche. J’ai eu envie d’essayer pour voir en faisant quelque chose de simple.

Je me suis fait un petit harnais avant d’aller dans le bac à douche avec, un plug anal, deux cordes et des menottes puis un bandeau pour les yeux. Après avoir attaché mes jambes, j’ai bloqué les menottes dans mon dos avec le harnais, je me suis un peu caressée et j’ai poussé le plug dans mes fesses. Pour me libérer, j’ai posé les clés directement dans le bac à douche puis j’ai fermé la porte pour ne pas mettre de l’eau de partout quand je devrai bouger pour me libérer. Le réglage de la température de l’eau m’a fait regretter de ne pas l’avoir fait avant de m’entraver car quand elle arrive, elle est glacée. Qu’elle conne, je sais ! A la suite de quoi, je me suis aveuglée avant de passer mes bras dans le harnais et de fermer les menottes sur mes poignets. Ce self water bondage m’a excitée comme une folle. La caresse de l’eau de la douche sur mon corps était très agréable et un sérieux complément à mon imagination particulièrement débordante dans ces moments là.

Alors que je m’agitais (sur mon plug) pour essayer d’échapper à un Maître sadique, mes pieds ont touché les clés. Jusque là, pas de souci, c’est moi qui les avais mises là, sauf que j’ai pris conscience que, comme sont petites, elles pouvaient passer par la bonde du bac à douche. Mon plaisir s’est envolé immédiatement pour laisser place à la peur puisque je n’avais pas prévenu Sandrine !!!!

Avec un maximum de précaution, j’ai fait demi-tour pour les attraper mais ce fut dur et désagréable. D’abord, je n’arrêtais pas de glisser avec la peur au ventre de faire bouger les clés. Si elles allaient dans la bonde, j’étais faite comme un rat. Ensuite, riper sur le plug quand on n’a plus envie de jouer et très désagréable. A cela se rajoute que les cordes mouillées me serraient très fortement et commençaient à me faire mal. Après une petite bataille contre l’équilibre et la gravitation, je suis parvenue à attraper ces satanées clés et je ne les ai plus lâchées ! Trouver le trou de la serrure à l’aveugle n’est plus un problème pour moi car je commence à avoir l’habitude de jouer en solo. Le plus ennuyeux, pour ne pas dire autre chose, fut les cordes. Comme indiqué plus haut, défaire les noeuds quand elles sont mouillées est un peu galère sachant qu’en plus, la température de l’eau commençait à réellement diminuer, le cumulus étant plutôt petit. Une fois libre, je me suis jurée de prévenir Sandrine par principe.

Samedi soir, j’étais chaude comme la braise, ou en chaleur si vous préférez messieurs les machos. Vers 21 heures, j’ai prévenu Sandrine par texto que j’allais jouer.

Tout était prêt sur le lit pour mon gros délire et les trucs vibrant déjà dans mes orifices. J’ai donc enfilé mes bas et ma nouvelle culotte en latex qui colle bien à la peau puis ma robe de la même matière. Mon bâillon harnais a trouvé sa place avant que je n’entrave mes jambes, cela m’empêchait de dire des bêtises d’après mon Maître imaginaire. Je m’étais prévue un hogtail, couchée sur le ventre avec les mains attachées à mes chevilles. Les clés étaient dans l’entrée de mon appartement et moi dans ma chambre,j’allais donc devoir faire un assez long déplacement pour pouvoir me libérer. Plus c’est long, plus c’est bon surtout quand on vibre de l’intérieur... A la suite de quoi je me suis aveuglée et j’ai menotté mes poignets dans mon dos. Et là, j’ai commencé à fantasmer un max en commençant à ramper pour échapper au Maître m’ayant abandonnée à un sadique qui allait arriver d’une minute à l’autre.

Je venais à peine de sortir de ma chambre en rampant quand il est arrivé ! ! ! !

« Et coucou la belle, je suis passée voir si tout va bien. Ouhaou, tu te mets au latex maintenant ? Cela te va super bien. Tu sais que tu es très désirable comme ça ? Tu me donnes des envies toi » m’a dit cette salope de Sandrine.

Après en petit moment de silence, pendant lequel je l’ai maudite d’être passée me voir, elle s’est mise à me toucher. Sur le coup j’ai cru quelle allait me v i o l e r alors qu’elle sait que je ne suis pas lesbienne. Après m’avoir faite tourner et tripotée pour voir ce que j’avais sur moi, elle m’a à nouveau abandonnée quelques instants. J’ai croisé les doigts pour qu’elle parte, et bien non ! Elle a plongé ses mains dans l’encolure de ma robe pour me tripoter la poitrine pour y poser mes pinces à sein en me disant qu’il fallait bien pimenter un peu mes petits jeux.

« Je vais me faire pardonner ces petites douleurs que je viens d’ajouter à ton petit délire » m’a dit Sandrine en écartant ma culotte en latex. NON, elle ne va quand même pas oser me tripoter la choune ? Me suis-je demandée. Cette salope a fait pire, elle a y logé mon magic wand massager à pile en bonne place. Cela m’a fait comme une décharge électrique dans le ventre. Puis, pour qu’il reste bien en place, elle a ajouté une ceinture m’obligeant à garder les jambes serrées avant de me souhaiter une bonne soirée et de quitter la maison.

Mon premier réflexe a été de me mettre sur le ventre et de commencer à ramper vers l’avenue de la libération, traduire par là, le couloir. Cela a eu deux conséquences ! Ecraser les pinces à sein (Aie) et d’appuyer encore plus le magic wand massager sur mon clitoris (hum). Ramper comme ça ne me paraissait pas possible, je vibrais trop et la douleur sur mes tétons était trop forte. J’allais donc devoir ramper en ne restant que sur le côté. Me remettre sur le dit côté m’a demandé un effort surhumain et, comme je suis fracassée deux fois, mes tétons ont dégusté grave. Si à ce moment là, j’avais envie de massacrer Sandrine, lorsque après une bonne demi-heure d’effort je suis arrivée au bout du couloir, le cumul des vibrations intérieures et sur mon clitoris m’a faite décoller et jouir à n’en plus finir. Quand on a joui, on a besoin d’une pause avant de recommencer. Avec le magic qui ne s’arrêtait pas, c’est devenu infernal. Là, j’ai eu envie de découper Sandrine au couteau de boucher avant de jouir une seconde fois.

J’étais épuisée, en larmes, j’ai cru un instant que j’allais tomber dans les pommes quand j’ai joui une troisième fois dans l’entrée de la maison. Alors que je cherchais les clés des menottes, je suis retombée sur le ventre. Je ne sais pas si c’est la douleur des pinces à sein ou le magic wand massager écrasé sur mon clitoris qui m’a faite jouir une quatrième fois, mais j’ai eu un trou noir. Je me suis réellement sentie partir dans un autre monde. Quand enfin je suis parvenue à ouvrir les menottes je ruisselais de la tête aux pieds. Mon premier réflexe a été de couper le magic wand massager avant de tirer les pinces à sein qui m’ont fait un mal de chien. Là aussi je ne sais pas si c’est la douleur qui m’a faite jouir ou l’oeufs et le plug qui vibraient encore en moi mais j’ai joui sans rien voir venir, sans rien comprendre. Étendue sur le sol comme une carpette je me suis endormie en voulant m’accorder une petite pause avant de tout retirer.

Il était 4h du matin quand j’ai pris la porte d’entrée dans la tête.

« Ca va » ? M’a demandée Sandrine qui me semblait très inquiète. N’ayant pas reçu mon texto, au lieu de rentrer chez elle après sa sortie coquine chez une de ses amies lesbiennes, elle était repassée à la maison. Elle m’a aidée à retirer le harnais bâillon puis a foncé à la salle de bain chercher un gant mouillé pour me laver la figure.

  • Ca va mieux ?

  • Oui ça va salope !

  • Tu n’es pas arrivée à te libérer complètement ?

  • Si mais j’ai tellement joui que je me suis endormie d’épuisement.

  • Laisse-moi t’aider à te lever et à te débarrasser de tout ça. Je crois aussi que tu as besoin d’une bonne douche car tu as aussi pissé par terre.

Dans l’état où j’étais, que Sandrine voit tout ça, m’aide à tout retirer et me voit nue ne me posait aucun problème. J’étais vraiment un légume. Elle m’a obligée à prendre une douche et je n’étais pas en état pour lui résister. Toujours aussi gentille que décidée, elle m’a couchée et bordée avant de se coucher à côté de moi et de me prendre dans ses bras pour me faire un gros câlin. Je me suis endormie dans ses bras comme un bébé.

A suivre

Ecrivaillon

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